RSS
RSS



 
Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

Partagez

"Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Miki Yamada
Niveau scolaire. :
"Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] Left_bar_bleue5 / 1005 / 100"Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] Right_bar_bleue

Chambre : Externe.
Classe : Cinquième B.
Spécialisation. : Chant.
Situation amoureuse : Célibataire

Je suis... :
  • Fidèle au poste !

Je peux prendre... :
  • Rien du tout, passe ton chemin.

Messages : 108
Okane (お金) : 158
Points. : 4
Date de naissance : 10/11/1996
Age : 27
Les p'tits liens. : Présentation.Fiche de liens.Fiche de rp.Facebook.
Musique.
Miki Yamada
MessageSujet: "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] EmptyDim 17 Mai - 1:10
Le vent traversa gracieusement le toit, balayant tel un pinceau sur une toile le visage du seul jeune homme présent en cette matinée. Immobile, appuyé à la grille le séparant de la mort, il contemplait le ciel qui ouvrait avec grandeur ses bras à l'âme égarée qu'il était. L'incertitude l'enlaçait de ses bras  glacés, alors qu'il n'arrivait à se retrouver dans les quelques événements passés. Si la peur était le premier sentiment qui pouvait l'animer, une partie d'excitation avait aussi élu domicile au fond de lui.

Ses doigts s'étaient fébrilement accrochés au grillage, il semblait représenter son seul espoir de pouvoir encore se retrouver, de ne pas se perdre dans tout ce qu'il découvrait. Un faible soupir passa la barrière de ses lèvres finement dessinées. Il attendait avec patience le dernier pilier qu'il avait sur ce monde. Bien plus qu'un corps, qu'une amie, elle était sa vie. Dans le silence qui n'était brisé que par la respiration de la terre, ainsi que celle du jeune adulte, un calme apaisant régnait, malgré les tristes soupçons qui animaient le cœur de notre protagoniste. Ses yeux se fermèrent délicatement, alors qu'il appréciait une nouvelle bourrasque, mêlée à la chaleur rassurante du soleil, qui se réfléchissait avec douceur sur sa peau légèrement bronzée.

Un premier iris d'une fraîche couleur noisette apparue, quelques secondes seulement avant sa jumelle. Légèrement ébloui, l'adolescent se protégea du soleil à l'aide de son avant bras, qui vint se poser sur son front. Il bascula finalement sa tête en arrière, vérifiant si celle qu'il attendait venait d'arriver. Cependant, il ne trouva point de trace de sa meilleure amie, et préféra se contenter d'aller s'asseoir sur un banc placé sur le toit, pour plus de confort.

En vérité, ce qui tracassait le jeune homme, au point de le faire douter sur la véracité même de sa personnalité, était une question toute bête. Celle de son orientation sexuelle. Il est vrai que ce n'est point quelque chose qui semble très tracassant à première vu, mais pour le jeune Miki, qui avait toujours été persuadé d'être hétéro, le doute quant à la personne qu'il aimait le mettait dans des états réellement... extrêmes. Miki était l'incarnation même de la sensibilité. Il suffisait de le voir pour le comprendre. Ses petits yeux semblaient exposer naïvement les sentiments qui l'habitaient. Il était chétif, et frêle. Et s'il n'avait pas de confiance en lui, son visage souriant savait attendrir le cœur des plus réticents.

Et à vrai, c'était exactement ce qu'il s'était passé avec Maya. La brusque montagne, aussi dévastatrice qu'un ouragan lorsqu'elle entrait dans une rage folle avait succombé au charme naturel de l'enfant qu'il était à l'époque. Aussi fébrile que fort, aussi courageux qu'apeuré. Mais une chose était restée de cette époque. Leur attachement mutuel.

J'attendais avec impatience Maya. Il fallait que je lui parle de mes doutes. Elle était la seule personne qui me permettrait de me retrouver dans le méli-mélo dramatique de mes sentiments. Je n'arrêtai pas de cogiter depuis ma rencontre avec Sasuke, et particulièrement lorsque j'avais passé un peu plus de temps à ses côtés, lorsque nous avions peint. J'étais réellement perdu quant à tout ce qu'il se passait autour de moi, et mon cœur battait la chamade à chaque fois que j'y repensai. Je n'étais qu'un tourbillon de sentiments inébranlables. Ils stagnaient en moi comme une gravure sur la stèle. Imperturbables malgré les intempéries. Et je pouvais sentir mon moi s'envoler, tel une plume de colombe, signifiant la paix. J'étais en guerre avec moi-même.
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] EmptyDim 17 Mai - 11:18
Bouge de mon chemin cervelle de moineau.


- Maya, sans doute l'une des personnes les plus désagréables de cette fichu planète, un mètre cinquante-trois d'emmerdes et une verve qui vous clouait sur place en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, venait de faire part de son fichu irrespect à l'un des élèves de la classe A. Le problème principal de ce petit bout de femme était sans doute son absence totale de peur, ce qui, fasse au garçon la fulminant qui devait faire près de deux fois sa taille, était assez impressionnant. En effet, le personnage qu'elle jugeait au comble de l'écervèlement aurait pu, sans grande peine, la casser en deux d'un coup de poing sur la tête. Enfin bon, d'un autre côté, pour pouvoir la frapper il aurait encore fallu qu'il ait le courage de braver ses iris enflammés qui en imposaient de par la fougue qu'on y lisait. Sans un mot mais avec un regard noir, le garçon se décala et la jeune fille aux mèches roses put poursuivre sa route.


Ses Doc Marten's violettes crissaient sur le plancher alors qu'elle slalomait entre les élèves entassés en attente de leur prochain cours, cours auquel elle n'assisterait évidemment pas puisqu'elle avait rendez-vous avec son double angélique au sommet des bâtiments, lieu qu'ils affectionnaient tout deux car il leur permettait pour un temps de se croire en dehors du monde des hommes. Ses longs ongles recouverts d'un vernis noir plus qu'écaillé frottaient les uns contre les autres semant des miettes noires sur son passage. Vêtue d'un long pull en mailles noires un peu troué et chaussée de bas rayés noir et blanc, on ne pouvait pas vraiment dire que la japonaise était la féminité même mais elle s'en fichait bien, n'attachant pas vraiment d'importance à ce que les garçons pouvaient bien penser d'elle, Miki l'aimant bien comme cela.


Rapidement elle gravit les escalier la conduisant au toit, ouvrant la porte à la volée avant de sentir l'air frais lui gifler le visage. Fermant ses paupières couvertes de Khôl, elle huma les différentes odeurs qui lui parvenaient des alentours avant de localiser un Miki un peu ailleurs. Ce fut alors à pas de loup qu'elle s'avança dans son dos avant de brusquement lui cacher les yeux, se penchant à son oreille en modifiant sa voix afin qu'il devine qui cela pouvait bien être. Une petite farce qu'elle aimait à faire par moment à son ami si émotif, enfaite le seul à qui elle pouvait bien les faire puisque contrairement à lui, la jeune fille ne s'attirait la sympathie de personne. Au contraire même. 


Prenant place sur le banc près du brun, elle glissa une Lucky entre ses lèvres, l'allumant d'un geste étrangement hésitant avant de recracher la fumée dans la direction opposée au jeune homme afin que celui-ci n'en pâtisse pas.-


Explique moi ce qui te perturbe.


- ordonna la jeune fille en rangeant une mèche rose derrière son oreille, attendant sa réponse. Elle le connaissait trop bien pour ne pas voir que quelque chose le turlupinait bien qu'elle ne se doute de quoi. Il fallait avouer que parfois, Miki était sujet à des attitudes ou réflexions inattendues. Ce qui était sûr par contre, c'était que quoiqu'il se passe, elle serait derrière lui à le conseiller et à le soutenir, c'était son devoir et elle le prenait très au sérieux.-
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
Miki Yamada
Niveau scolaire. :
"Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] Left_bar_bleue5 / 1005 / 100"Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] Right_bar_bleue

Chambre : Externe.
Classe : Cinquième B.
Spécialisation. : Chant.
Situation amoureuse : Célibataire

Je suis... :
  • Fidèle au poste !

Je peux prendre... :
  • Rien du tout, passe ton chemin.

Messages : 108
Okane (お金) : 158
Points. : 4
Date de naissance : 10/11/1996
Age : 27
Les p'tits liens. : Présentation.Fiche de liens.Fiche de rp.Facebook.
Musique.
Miki Yamada
MessageSujet: Re: "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] EmptyDim 24 Mai - 15:24
Aussi étrange que cela puisse paraître, ma meilleure amie était ce petit corps brutal qui était toujours prit dans des histoires incroyables. Elle s'assit à côté de moi, sans aucune once de féminité qui me fit tout de même sourire, avant qu'elle n'allume une cigarette. Je fronçais les sourcils, j'avais beau savoir qu'elle fumait régulièrement, je ne voulais pas qu'elle le fasse en ma présence. J'attrapai l'arme destructrice entre mes doigts avant de l'écraser sur le sol, et de lui lancer un regard foudroyant qui était loin d'être crédible sur mon visage. Je levai un sourcil, avant de lui adresser le sourire d'un ange, et de me laisser tomber sur la gauche, pour que ma tête s'aplatisse sur ses cuisses, alors que je continuai de regarder le ciel, la vue légèrement obstruée par le bas du visage de la belle. J'avais étendu mes jambes sur le banc.

« Je crois que je suis amoureux. » lui répondis-je.

Déjà, il fallait commencer par là. C'était évident que c'était la première partie de tout ce qui m'habitait qui me préoccupait le plus. Je fermai les yeux, revoyant le visage de Sasuke. Me dire que j'étais sûrement amoureux d'un mec me faisait extrêmement bizarre à vrai dire. Je ne saurai pas expliquer pourquoi en fait. Je n'y étais surtout pas habitué. Mais le pire, c'est que tout ce contre quoi je m'étais battu quand j'étais plus jeune, lorsque j'avais affirmé de pied ferme à tout le monde que je n'étais pas gay, au point de me prendre régulièrement la tête avec mon père qui faisait toujours des blagues douteuses, s'avérait vrai. Je passais une main sur mon visage, avant de me redresser, et de la laisser se perdre dans mes cheveux, alors que je fronçai les sourcils. J'étais assit en tailleur sur le banc, dans mon uniforme scolaire, chose que ne mettait jamais Maya, et je craignais qu'un jour elle se fasse taper sur les doigts. Enfin bon, ce ne serait pas la première fois après tout. ENFIN BREF. Je ne savais juste pas comment expliquer à Maya ce qui m'arrivait. Non pas que je craignais qu'elle me juge ou se moque, loin de là, cependant, j'étais dubitatif quant à moi-même. Est-ce qu'avouer que j'étais peut-être gay ne me perdait pas tout entier ? J'étais en proie au doute et à la peur, je n'osais pas avouer à quelqu'un que j'étais probablement amoureux d'un homme, parce que ce serait rendre la situation concrète, et c'était sûrement ce qu'il y avait de plus dur. Un soupir passa la barrière de mes lèvres, alors que je me tournais vers Maya, avant de me lever, faire quelques pas, en massant ma nuque, gêné. Au bout d'un moment, je serrai les poings, avant de retourner vers ma meilleure amie, et de la faire se lever. Je la surplombai de quelques têtes, mais ça ne changeait pas au fait que dans notre relation amicale, c'était elle qui portait la culotte.... enfin bref. Je la regardai dans les yeux, assez hésitant.

« J...j...Je crois que je suis gay. » lâchais-je dans un débit de parole plutôt rapide.

Et comme à chaque fois que je me mettais à stresser un peu trop, ou toute autre connerie habituelle, du style m'énerver un peu trop, ou faire trop d'effort, je me mettais à tousser violemment. Une vilaine quinte de toux qui me rappelait mon triste passé. Je devenais toujours tout rouge, et mes yeux finissaient par pleurer. Je me calmai au bout d'une minute ou deux, et je reprenais ma respiration doucement. Je me redressai, avant de retourner m'asseoir.

Je venais de rendre mes doutes réels. Je venais de poser du concret sur toute cette situation qui me perturbait depuis si longtemps, et je ne savais pas vraiment comment allait réagir Maya. J'étais effrayé de la suite des événements, mais pas par Maya, surtout par moi. Comment allait évoluer toute cette histoire ? Et si Sasuke me prenait pour un fou ? Déjà qu'aimer une femme était terrible, aimer un homme, c'était encore pire...
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] EmptyMer 27 Mai - 11:36
Tu es quoi ...?

- Maya tomba des nues, les yeux légèrement écarquillés et le souffle court, elle venait d'oublier de respirer, d'oublier comment faire en fin de compte tant l'annonce de son meilleur la prit de court. Il ne pouvait pas, si ? Enfin l'amour c'était une connerie monumentale, un leurre universel. Elle n'aurait guère souffert qu'une de ces imbéciles de filles peinturlurés comme des camions volés lui prenne le seul garçon qui n'ait jamais compté pour elle pour ensuite lui faire du mal et le jeter, brisé, quelques temps après. Il n'en était pas question. Coinçant sa lèvre inférieure entre ses deux incisives, elle laissa ses petites mains se perdre dans les cheveux bouclés du jeune homme alors qu'elle déglutissait péniblement, n'osant trop rien dire car quelque chose lui soufflait que cette révélation n'était qu'une partie de l'iceberg.

Tandis qu'elle recrachait doucement la fumée grisâtre en direction du ciel, elle sentit le brun lui retirer l'objet du délit pour le jeter ce qui l'énerva même si cela partait à première vue, d'une bonne attention. Elle n'aimait pas qu'on la reprenne sur son comportement ou qu'on l'empêche de faire ce qu'elle voulait quand elle le voulait, elle était légèrement têtue sur ce point. Enfin, si ce n'était que sur ce point. Grognon, elle balança ses jambes contre le sol avant de s'allonger sur le banc qu'il venait de quitter, le fait qu'elle soit dotée d'une mémoire plus que sélective l'aidant pour un temps à oublier qu'il envisageait de la remplacer, elle qui pensait tenir la place la plus importante dans le cœur de Miki.
Maya n'avait jamais aimé qui que ce soit, elle n'était même pas sûre par ailleurs de savoir bien ce que cela signifiait aussi, elle ne pouvait réellement comprendre Miki et ses questions existentielles concernant son orientation sexuelle. Seule restait cette peur panique de l'abandon qui la prenait à la gorge tels des odeurs d’ammoniac. Maya n'aurait guère supporter de perdre le dernier lien qui la rattachait à ce fichu monde, sa dernière part d'humanité, son double angélique. 

Lors de la révélation finale cependant, son cœur cessa tout bonnement de battre pendant ce qui lui sembla des heures. Elle pensait au ralenti, ne parvenant même plus à énoncer la moindre parole cohérente. C'était un cauchemar, un farce, oui cela sans doute, Miki lui faisait une blague, de mauvais goût certes mais une blague tout de même. 
Sans doute pour donner un aspect plus dramatique ou solennel à la scène, il l'avait faite se lever et à présent elle devait lever la tête pour croiser son regard perdu. Elle peinait à comprendre, à le reconnaître tant il semblait désœuvré. Maya elle n'avait rien contre les homosexuels non, ils pouvaient bien faire ce qu'ils voulaient, mais elle ne voulait pas qu'ils lui prennent le jeune homme, pas lui.

En entendant son habituelle quinte de toux, elle lui tapota efficacement le dos avant d'essuyer doucement les petites larmes aux coins de ses yeux. Le seul geste un peu tendre dont elle était capable. Retirant vivement sa main comme si elle avait été brûlée, Maya le regarda retourner sur le banc et s'éloigna de lui, allumant une nouvelle cigarette dont elle avait grandement besoin. Bon de l'alcool aurait été plus efficace mais en amener au pensionnat était une opération suicide. Son regard empli de doutes se perdit dans la contemplation d'une Tokyo animée et elle soupira, ses ongles grattant la pierre du petit muret la protégeant du vide.

Le cauchemar allait bien finir par se stopper non ? Cela ne pouvait pas être éternellement ainsi, il allait se mettre à rire, promettre de ne pas l'abandonner et il irait acheter ensembles des cornets de glace non ? Il en était toujours ainsi habituellement. Qu'est-ce qui avait pu changer ? Miki était tombé amoureux, il était à présent inévitable qu'ils en viendraient à s'éloigner l'un l'autre.-

Je suis heureuse pour toi Miki..

- murmura-t-elle d'une voix qui se voulait enthousiaste mais s'avérait, pour quiconque la connaissait, plus triste que la mort.-
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] EmptyJeu 16 Juil - 17:09
 Ce sujet n'ayant pas reçu de réponse depuis plus d'un mois, je l'archive.
Pour poursuivre ce rp, contactez un membre du staff.
Bon jeu !
Revenir en haut Aller en bas
AuteurMessage
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] "Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.] Empty
Revenir en haut Aller en bas

"Tu es mon seul pilier. Tu es ma vie, mon identité." [Maya Hideie/Miki Yamada.]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» [Terminé] Du coup, j'ai attrapé mon téléphone pour envoyé un message à Miki, c'était lui que je voulais voir en fait. [Miki Yamada - Sasuke Ujikiyo]
» Maya Hideie
» Parrainage Maya Hideie - Nowaki A. Shakespeare.
» Miki Yamada.
» Confessions de Miki Yamada.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat Miyusaki :: Administration. :: Archives. :: Rps Abandonnés.-